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"Ce que l'idole travaille en effet a résorber, c'est précisément cet écart et le retrait du divin... Subvenant l'écart et le retrait du divin, l'ídole met à disposition le divin, l'aaaure et à la fin, le dénature. Son ahchèvement achève mortellement le divin. L'idole tente de nos approcher du divin, et de nous l'approprier ( grifo meu): parce qu'il craint l'atheísme, l'adorateur met la main sur le divin dans la forme d'un dien; mais cette prise en main perd ce qu'elle saisit: ne lui reste qu'une amulette trop bien connue, trop maniable, trop assurée.. L'idole manque la distance qui identifie le divin comme tel-comme ce qui ne nous appartient pas, mais nous advient"( grifo meu).
Jean Louis Marion, L'idole et la distance, Grasset.
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